Limitless

Un concept original : Bradley Cooper essaye le NZT-48, une drogue qui lui permet d’utiliser 100% des capacités de son cerveau au lieu des 20% comme le fait le reste de l’humanité.
Maintenant « lucide » il se métamorphose et passe de l’écrivain pouilleux au golden boy surdoué qui en balance plein la vue au grand manitou de la finance : Robert de Niro. Cette transition est assez jouissive, notamment la scène où il séduit sans difficultés la femme de son propriétaire.
Quelques mois lui suffiront pour se construire un réseau d’amis influents, maitriser plusieurs langues, multiplier son capital par 20 à la bourse, et au passage récupérer son ex.

On regrettera cependant que les inconvénients liés à la prise de NZT (accoutumance, pertes de mémoire, problèmes avec la justice) soient balayés d’un revers de la main pour nous sortir une happy-end du chapeau.

Même si les acteurs sont bons, on regrette des raccourcis niveau scénario, et certains plans qui donnent la nausée..

Un divertissement acceptable.

4 réflexions sur “Limitless

  1. Ces critiques manquent fondamentalement de matière, film ou bouquin c’est du sur volage pur et simple. Ou parle t-on du style, de la musique, des acteurs???

    Un blog sur la (boulimie de) culture? > C’est comme la confiture, moins on en a, plus on l’étale…

  2. Pingback: American Sniper | Boulimie de Culture

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